Albert Ondo Ossa, principal candidat de l’opposition au Gabon : « Il n’y a pas de coup d’Etat militaire, mais une continuité des Bongo… »

01 - Septembre - 2023

Malgré la prise du pouvoir par les militaires et le président Ali Bongo Ondimba en résidence surveillée, l’opposant Albert Ondo Ossa demeure insatisfait. « La situation actuelle dans le pays est à mettre dans son contexte. Il ne faut pas que les gabonais se trompent. Il n’y a pas de coup d’Etat militaire. Mais c’est une révolution de Palais» confie l’adversaire du président déchu, Ali Bonho Ondimba lors d’un entretien sur la chaîne TV5.

Plus loin, l’opposant est convaincu que c’est « le clan Bongo » et que le chef de la transition n’est qu’un écran. « C’est Pascaline Bongo qui est derrière. C’est une révolution de palais » a servi Albert Ondo Ossa rappelant que c’est la garde prétorienne qui a perpétré le putsch.

Commentaires
0 commentaire
Laisser un commentaire
Recopiez les lettres afficher ci-dessous : Image de Contrôle

Autres actualités

16 - Mai - 2025

Ousmane Sonko en visite officielle de 48h au Burkina Faso

Le Premier ministre sénégalais, Ousmane Sonko, entame ce vendredi une visite de 48 heures à Ouagadougou. Il s’entretiendra avec le président de la transition...

16 - Mai - 2025

Pour sa participation au dialogue politique : L’AFP pose ses conditions

L’Alliance des Forces de Progrès (AFP) participera au dialogue national initié par le Président de la République, mais sous des conditions claires et non...

16 - Mai - 2025

Départ des bases françaises : Une nouvelle étape vient d'être franchie

Une nouvelle étape vient d’être franchie dans le processus de départ des militaires français établies au Sénégal. La partie française...

14 - Mai - 2025

Soro : « Je n’ai jamais sollicité Macky Sall pour parler à Ouattara »

Guillaume Kigbafori Soro sort de son silence pour dénoncer fermement un article du site Africa Intelligence, qu’il qualifie de « publication malveillante » et «...

13 - Mai - 2025

BOYCOTTER LE DIALOGUE, « SO WHAT » ? ( PAR MOHAMED GASSAMA)

Les dignitaires de l’ancien régime font tellement de tours de passe-passe qu’ils pensent que tout le monde joue un double jeu comme eux. Si, seulement, ils pouvaient comprendre...