DIOMAYE ET SONKO RÉAFFIRMENT LEUR LEADERSHIP PARTICIPATIF ( Par Mohamed GASSAMA)
Ceux qui s’intéressent à la gestion des affaires de la cité ou à l’expansion et au rayonnement des entreprises publiques ou privées s’accorderaient à reconnaître le Chef de l’État et son Premier Ministre comme des symboles de la gouvernance participative. La célébration de la fête du travail, ce 1er mai 2025, aura permis aux sénégalais, de tous horizons et de tous ordres, de découvrir le leadership démocratique qui caractérise le tandem « DIOMAYE -SONKO ». Que faut-il entendre par là ? Tout simplement, la volonté manifeste d’un régime qui place la concertation et le dialogue au centre de ses priorités. Il est donc bien derrière nous, le temps de l’autoritaire, de la ruse, du tape-à-l’oeil et du colmatage. De nos jours, on joue la carte de la vérité et de la transparence. Certains détracteurs, guetteurs de faux pas et éternels médisants, s’attendaient à un quiproquo entre le Gouvernement et les organisations syndicales et patronales pour, certainement, jubiler. Hélas, ils devront encore s’arracher les cheveux, souffrir et surtout savoir que ce n’est pas demain la fin de leur calvaire. En effet, comme on a coutume de le dire, ce n’est que le début de la success story, d’autant plus tous les voyants sont au vert et que le boulevard, qui mène à l’éclosion d’un environnement favorable à l’investissement, est désormais balisé. Pour preuve, la signature du Pacte de stabilité pour une croissance inclusive et durable. C’est une première au Sénégal qu’il faut saluer à sa juste valeur. On pourrait même déclarer que c’est une révolution significative. Forcément, pour arriver à ce résultat historique, il a fallu l’engagement personnel de Son Excellence Monsieur Bassirou Diomaye FAYE, la clairvoyance de Monsieur Ousmane SONKO et l’accompagnement, sans faille, du Ministre Abass FALL. Indubitablement, l’ouverture du Président de la République à un partenariat franc et sincère, dans l’intérêt exclusif du pays, a bien été le ciment de l’entente et de l’accord entre les différentes parties prenantes. Partant, il appartient maintenant aux uns et aux autres de respecter les engagements pris et de prouver aux yeux du monde que nous disposons de ressorts suffisamment solides et fiables. Toutes choses qui confirment que le « sunu gaal » peut être battu par les flots mais jamais il ne sombre, « fluctuat nec mergitur », en Latin. Cette assertion reste une réalité eu égard à l’ambition des nouvelles Autorités d’associer et d’impliquer toutes les forces de la Nation à la construction d’un avenir meilleur pour les citoyens.