FRANCE : LE FRDS DENONCE « LE MUTISME COMPLICE DU PREMIER MINISTRE OUSMANE SONKO FACE A LA PROVOCATION D’ACTIVISTES PRO-LGBT AU SENEGAL »

12 - Mai - 2025

Le Front de Résistance de la Diaspora Sénégalaise (FRDS) exprime sa profonde indignation face au silence incompréhensible et coupable du Premier Ministre Ousmane SONKO et de son gouvernement, suite à l’arrivée sur le territoire national d’activistes pro-LGBT qui se sont permis de parader ouvertement dans les rues de Dakar, tout en saturant les réseaux sociaux de contenus à caractère ouvertement propagandiste.
Cette attitude de complaisance, marquée par l’inaction du pouvoir exécutif, trahit non seulement les engagements de campagne du Premier Ministre, mais constitue également une entorse grave au respect des lois en vigueur dans notre pays. Le FRDS tient à rappeler que l’article 319 du Code Pénal sénégalais prévoit expressément que :
« Sera puni d’un emprisonnement d’un (1) à cinq (5) ans, celui qui aura commis un acte impudique ou contre-nature avec un individu de son sexe. »
Cette disposition légale, toujours en vigueur à ce jour, entre en contradiction flagrante avec les propos tenus par Monsieur SONKO lors de la conférence de presse conjointe avec le leader français Jean-Luc Mélenchon, tenue à l’Université de Dakar le 17 mai 2024, où il a affirmé que « l’homosexualité est tolérée au Sénégal ». Une déclaration qui heurte les valeurs culturelles, morales et religieuses du peuple sénégalais, et qui sème le trouble dans l’opinion publique.
Le FRDS interpelle solennellement le Premier Ministre Ousmane SONKO : souffre-t-il d’amnésie sélective ou bien ses promesses de campagne ont-elles été rangées au rayon des illusions perdues, à l’instar de ses engagements sur la transparence des fonds politiques ou encore l’appel à candidatures pour les postes de l’administration publique ?
Ce silence gouvernemental, qui frôle la complicité, est d’autant plus préoccupant qu’il est partagé par certaines organisations de la société civile jusque-là promptes à s’indigner, comme l’ONG Jamra ou le mouvement "Sam Jikko Yii", dont la discrétion face à cette situation actuelle est tout aussi assourdissante qu’inquiétante.
Le FRDS appelle les autorités sénégalaises à respecter et à faire respecter les lois du pays, ainsi qu’à ne pas céder aux pressions étrangères ou aux injonctions idéologiques qui sont en déphasage complet avec les valeurs de la société sénégalaise.
Le FRDS continuera à se dresser contre toute forme de compromission et restera vigilant face à toute tentative de subversion morale et culturelle.
Pour le FRDS,
Le Bureau de Communication

 

Commentaires
0 commentaire
Laisser un commentaire
Recopiez les lettres afficher ci-dessous : Image de Contrôle

Autres actualités

29 - Septembre - 2024

UNE NOUVELLE RESPONSABILITE : RIEN DE NOUVEAU A NOTRE CONNAISSANCE, SINON UNE COPIE CONFORME DE BBY AVEC UNE FORTE COLORATION APR (PAR ALIOU NDAO FALL)

On ne fait pas du neuf avec du vieux dit-on. Un regroupement d'hommes et de femmes, d'ici et de la Diaspora qui ont servi le Président Macky SALL depuis plus de 10 ans, ne peut être...

28 - Septembre - 2024

LEGISLATIVES: AMINATA MBENGUE NDIAYE JETTE L’EPONGE

Mme Aminata Mbengue Ndiaye, porte-étendard des «Socialistes» ne prendra pas part aux législatives anticipées de novembre prochain. Selon un communiqué...

28 - Septembre - 2024

PROCHE-ORIENT : L'ARMEE ISRAELIENNE ANNONCE AVOIR TUE LE CHEF DU HEZBOLLAH, HASSAN NASRALLAH

Le Hezbollah libanais a confirmé, samedi 28 septembre, la mort de son chef, Hassan Nasrallah. "Sayed Hassan Nasrallah a rejoint ses compagnons martyrs (...) dont il a conduit la marche...

28 - Septembre - 2024

QUI EST HASSAN NASRALLAH, LE REDOUTABLE CHEF DU HEZBOLLAH, TUE DANS UNE FRAPPE ISRAELIENNE ?

Depuis des décennies, le chef du mouvement armé chiite était considéré comme l’un des hommes les plus puissants du Moyen-Orient. Il était...

28 - Septembre - 2024

LA REACTION D’ALY NGOUILLE NDIAYE APRES LE « GRAND DEBALLAGE » DE SONKO

Aly Ngouille Ndiaye, ancien ministre de l’intérieur sous Macky Sall, estime que le gouvernement a mis les charrues avant les bœufs. Il aurait pu attendre le rapport...