LA SCENE POLITIQUE D’AUJOURD'HUI EXIGE L’ADAPTATION DU DISCOURS AUX REALITES DU MOMENT

10 - Mai - 2025

Le Tripitaka du Bouddhisme, l’Ancien Testament ( la Thorah ) , le Nouveau Testament ( les Evangiles ) et l’ Incrée Saint Coran enseignent et renseignent sur la vie et les actes des femmes vertueuses comme Sephora , Marie , Hagar , Balquis qui prêchaient la vérité comme viatique .
Trois millénaires après, leurs œuvres restent présentes comme celles de Khadija , de Aicha , de Marie Magdaleina , de Mère Teresa ou de sœur Emmanuelle qui remplissent encore notre quotidien de leurs bienfaits que , vainement , les disciples minoritaires et insignifiantes de Jezabel , Dalilah , Marie Antoinette veulent ternir par le dénigrement, la calomnie et l'injure qui ne les honorent pas .
Il s’agit des pseudo responsables du futur défunt mouvement national des femmes du parti socialiste qui ont bradé l’héritage fait d’honneur , de dignité, de vérité , de courage et d’engagement de Caroline Faye Diop , Adja Arame Diene , Fatoumata Ka , Maimouna Kane , Mantoulaye Guene ou Fambaye Fall Diop .
Rattrapées et abattues par l’arthrose, le glaucome , la cataracte et l’amnésie ces nounous, désormais bonnes pour encenser les mosquées et les églises , doivent céder le plancher à la vaillante génération de Yeya Diallo , Bineta Diagne, Mingue Ndiaye etc ...apte à supporter les rigueurs des tournées à l’intérieur du pays et des diasporas et dotées d’une culture politique certaine .
Elles doivent se rendre à l’évidence : le temps des " tassous , des tathious et des garouwalés " est révolu.
La scène politique d’aujourd'hui exige l’adaptation du discours aux réalités du moment qui est celui des jeunes que nous devons soutenir pour perpétuer les valeurs, les idéaux, l’identité et l’histoire du parti socialiste souillés par le magistère catastrophique de Aminata Mbengue Ndiaye envahie et emprisonnée par madame Casimir ou Doubtfire admissible à la retraite et nostalgique d’une jeunesse à jamais périmée : Aida Sow Diawara puisse qu’il s’agit d’elle .
Sans élégance ni générosité, selon plusieurs sources proches d’elle, Aida Sow Diawara serait sortie major de sa promotion de la vieillotte école supérieure des coups bas où la manipulation , la tortuosité et l’hypocrisie constitueraient les matières à fort coefficient. Ce serait avec ces armes non conventionnelles qu’elle fit le vide autour de la secrétaire générale intérimaire et dégarnit les rangs du mouvement national des femmes jadis fer de lance du parti socialiste.
Cependant elle ne pourra pas eteindre la flamme du Front pour la Libération du Parti Socialiste qui exige sa démission immédiate de la présidence au profit des jeunes prêtes à relever les défis de la modernisation, de l’organisation, du fonctionnement du mouvement national des femmes socialistes en capacité de définir et de promouvoir de nouvelles offres politiques en adéquation avec les attentes pressentes des sénégalaises .

Birahim Camara
Front pour la libération du
Parti Socialiste

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