Projet de reprise en main de l'APR/diaspora: "l'ère des castes établies est révolue", réagit un ténor de la DSE/France

26 - Janvier - 2017
Un responsable de l'APR/France, qui a requis l'anonymat, dénonce vertement la volonté de deux "loosers", Alioune Ndao Fall et Mamadou Talla, de mettre "sous tutelle" la DSE / France et l'APR/diaspora.                                                                              
Il y a urgence à clarifier les choses. Au fur et à mesure que l'information selon laquelle une tentative de mise sous tutelle de la DSE France et de l' APR Diaspora serait en marche, prend de la consistance, le découragement et la lassitude gagnent les rangs des Apéristes. Au point de faire craindre dans les troupes une bérézina, avec en ligne de mire les législatives de 2017 et la présidentielle de 2019.
 
Les initiateurs de ce « projet » qui serait soumis au Président de l' APR depuis octobre 2016 par une bande de « loosers » qui cherche à se repositionner en passant par la fenêtre et en oubliant que l'ère des castes établies est révolue. Depuis qu'ils ont été casés, ils étaient aux abonnés absents. Mamadou Talla, après avoir quitté la tête de la section de Mantes-la-Jolie, n'a pas pu se faire une place dans son Matam natal. Alioune Ndao Fall en plus d'un Secrétariat à la Diaspora qui est une coquille vide, était devenu « inlocalisable » jusqu'à son évinction des postes diplomatiques du Tchad et du Cameroun. Almamy Bocoum n'en parlons même pas. Demba Sow sur lequel ils veulent s'appuyer pour le cas de la France n'a pas l'étoffe ou la voilure nécessaire pour diriger quoi que ce soit. Son poste actuel de Coordinateur de la DSE, il ne le doit qu'à un lobbying intense de ses « amis » et la volonté manifeste de Macky Sall de l'imposer.
 
Il est indéniable que c'est un exercice d'équilibre qui risque de se profiler à l'horizon avec l'objectif annoncé de reprise en main de l' APR Diaspora si le grand Manitou du parti « achète » ce business plan.
 
Le pari est trop risqué dès lors que la préoccupation première devrait être de construire un grand rassemblement pour susciter un autre type d'envie, transformer ce qui reste encore de capital sympathie en envie de victoire. Toute autre démarche ne sera que peine perdue car l'immobilisme et le « choeur des pleureuses » qui s'opposent à la volonté d'apporter les « changements nécessaires » sont un combat d'arrière-garde d'un autre siècle.
 
 
Commentaires
0 commentaire
Laisser un commentaire
Recopiez les lettres afficher ci-dessous : Image de Contrôle

Autres actualités

03 - Janvier - 2025

La traversée du désert continue pour Barthélémy Dias : Il vient de perdre la direction de Taxavu Sénégal reprise par Khalifa Sall

Barthélémy Dias traverse une période délicate, marquée par des échecs politiques et judiciaires. Selon Point Actu, l’ancien maire de Dakar a perdu...

02 - Janvier - 2025

Rationnalisation des partis politiques: Le vaste chantier que Diomaye veut ouvrir

Le chef de l’État a appelé, lors de son message à la nation, à la veille du Nouvel An, à une rationalisation des partis politiques. Cette rationalisation...

02 - Janvier - 2025

Karim Wade brise le silence : «L’avenir du Sénégal se joue maintenant et le PDS a un rôle essentiel à jouer...»»

La frustration ressentie par certains responsables et militants du Parti Démocratique Sénégalais (PDS) après les élections législatives anticipées...

01 - Janvier - 2025

MESSAGE A LA NATION : LE PRESIDENT FAYE FIXE POUR 2025 LA FIN DE TOUTE PRESENCE MILITAIRE ETRANGERE AU SENEGAL

Le président Bassirou Diompaye Faye a déclaré mardi que le Sénégal allait travailler sur une nouvelle doctrine de coopération impliquant la fin dès...

01 - Janvier - 2025

GOUVERNANCE : BASSIROU DIOMAYE FAYE ANNONCE QUATRE REFORMES, DONT LE VOTE DE LA LOI SUR L’ACCES A L’INFORMATION

Quatre lois seront examinées par les députés en 2025 en vue de la protection des lanceurs d’alerte, de la réforme de l’organe de lutte contre la corruption,...