CHRONIQUE EDUCATION ET FORMATION: CE QUE JE REPROCHE A MACKY SALL (PAR CHEIKH SIDOU SYLLA)
31 - Décembre - 2020
En demandant au ministre de l’Education nationale d’augmenter le nombre d’inspecteurs, Macky Sall a pris une décision salutaire. Mais ce qui dérange dans le propos du président de la République, lors du lancement du rapport international du Programme d’Analyse des Systèmes Éducatifs (PASEC), c’est quand il ajoute que si l’enseignant «n’a plus peur » de l’inspecteur, « il n’y a plus d’éducation ».
Autres actualités
17 - Décembre - 2024
Budget 2025 : le ministère de l'Enseignement supérieur enregistre une hausse de 5,1 milliards FCFA
Le Budget 2025 du ministère de l'Enseignement supérieur, de la Recherche et de l'Innovation connaît une hausse significative. Il a été voté hier lundi en...
12 - Décembre - 2024
Ziguinchor : les enseignements vont reprendre le lundi 6 janvier 2025 à l’UASZ (recteur)
Les enseignements vont reprendre le lundi 6 janvier 2025 à l’université Assane-Seck de Ziguinchor (UASZ), fermé depuis le 27 novembre dernier à la suite de...
11 - Décembre - 2024
Revue de presse: L’éducation et la politique au menu des journaux
Les quotidiens parvenus mercredi à l’APS abordent notamment le plaidoyer du président de la République en faveur d’une éducation ‘’inclusive et...
Là encore il y'a manifestement de l'archaïsme dans la façon de penser le système educationnel autour de coercitions et de peurs reléguant au second plan le professionnalisme et la vocation qui doivent être les seuls moteurs du partage des savoirs et des connaissances. Il faut déjà que cet aspect policier des inspecteurs disparaisse pour laisser place à un système de complémentarité versus partage et conseil au bénéfice strict des apprenants de toute sorte.. C'est a ce prix qu'on arrivera à des académies performantes et distinguées pour que définitivement nos universités et organismes de formation figurent dans les classement mondiaux. C'est une question de volonté politique mais également d'ouverture aux nouveaux enjeux. Tu devrais être au milieu de la réflexion académique chez nous et pas à Paris